Pardon accepté
Le 31 janvier, une violente discussion survint avec mon fils. Le lendemain matin, la Parole de février m’apprit que nous devions rechercher la paix. Je lui ai donc immédiatement demandé pardon sur
Internet. Ce à quoi il m’a répondu qu’il lui fallait du temps et qu’il considérait que le choix de ce moyen de communication manquait en l’occurrence vraiment de goût. Le contact entre nous deux s’est
donc interrompu. Pendant un mois, j’ai recherché la paix, me sentant plutôt en désarroi et sans moyens.
Le matin du dernier jour de février m’est parvenu un message de mon fils, acceptant mon excuse. En plus d’une joie profonde et reconnaissante, j’ai senti un véritable soulagement
Traduit de Neue Stadt par Jean MAURE
Tiré de la revue Nouvelle Cité juillet-août 2019